mardi 24 avril 2007

Ce site vous propose la possibilité de réservez des spectacles de gogos danseurs et de strip-teaseurs.

Nous sommes de jeunes strip-teaseurs regroupés pour votre plus grand plaisir.

Bientôt de jeunes strip-teaseuses viendrons ce joindre a nous....Actuellement en construction.

Au faite, C'est quoi au juste un gogo danseur ? 

Hôte régulier des Boîtes et des bars bien branchés, le gogo danseur excite la curiosité de bons nombres de personnes.
D'abord le gogo danseur se reconnaît dès sa naissance. Oui, si c'est une fille c'est foutu ! Normal ! Mais si c'est garçon alors là c'est déjà mieux. Mais ça ne suffit pas, loin de là. Un gogo danseur doit avoir des dispositions dès la naissance. Élément indispensable pour reconnaître dans un petit bébé le futur gogo danseur : le corps naturellement huilé. "Avec ton corps huilé tu seras gogo danseur mon Fils !"
Bon je vous passe les détails de son enfance où ses camarades de classe l'appelait végétaline, ce n'est pour notre jeune gogo qu'une mauvaise période à passer. Ce que les enfants peuvent être cruels parfois !
Le jeune gogo danseur s'aperçoit très vite qu'en ne portant que des petits strings blancs il évite à sa mère bien du tracas en ramenant ainsi moins de linge plein de tâche d'huile à laver. De plus, comme il est naturellement excessivement bien musclé et bronzé et assez fier de son physique, notre jeune homme se plaît beaucoup dans cette petite tenue et se fait d'ailleurs très rapidement remarqué dans la rue par un imprésario chasseur de nouveau talent.
Très rapidement, c'est la spirale infernale. La sélection est rude. D'abord il ne doit pas avoir le vertige sur un podium. Ensuite les grosses pompes ne doivent pas lui donner d'ampoules. S'il échoue à l'un des deux tests, notre malheureux candidat est impitoyablement rejeté. Dieu seul sait ce qu'il lui arrivera alors...
Pour ceux qui passent le test haut la main, le boulot est contraignant. Les amours d'abord. Vous en voudriez vous d'un mec tout huilé qui part à minuit et qui reviens à 6-7 heure du mat ? Le gogo danseur est donc souvent un solitaire ou trouve sa chérie parmi les autres créatures de la nuit. Donc déjà désolé, mais si vous rêviez d'une longue histoire d'amour avec un beau gogo danseur, il va peut être falloir que vous révisiez votre position ou le rythme de votre vie !
Il n'empêche, notre malheureux gogo danseur, le soir au soleil levant, les reins fourbus, les oreilles pleines de vrombissements et les yeux encore éblouis par tous ces spots a bien mérité sa journée de sommeil.

Un peu d'histoire maintenant...

Moyen de séduction, cet art de la danse a de tous temps été exercé par les hommes. Ou plus particulièrement par les femmes. Décrit comme un exercice avant tout féminin, la gente masculine a depuis rattrapé son retard. En matière de séduction, les garçons ne sont pas de reste et ont aussi leur mot à dire.
Même s’il n’est pas nommé en tant que tel, l’Évangile fait référence à ce qui est certainement le premier strip-tease de l’histoire de l’humanité. L’artiste en question se nommait Salomé. Influencée par sa mère, cette gracieuse princesse juive dansa devant son oncle Hérode, qui lui avait promis en retour tout ce qu’elle désirait en échange de sa grâce. Hérode, charmé par la danse des sept voiles de sa nièce, ne pouvait rien lui refuser, tellement il fut séduit et ébloui. Promesse oblige, c’est à contre cœur qu’il accepta la décapitation du prophète Jean Baptiste. Car tel fut le vœu de Salomé.
Il faudra attendre l’épopée des cow-boys pour que le terme strip-tease voit le jour dans les saloons. En France, on doit son arrivée grâce au Crazy Horse qui le rendra populaire vers 1950. Au cinéma, on se souvient de la danse voluptueuse qu’exécuta Alice Sapritch dans la Folie des Grandeurs devant Yves Montant ébahi. Mais également ceux d’Elisabeth Berckley dans Show Girls ou de Demi Moore dans Strip-tease. C’est à la fin des années 70 que le strip-tease masculin s’est démocratisé avec l’apparition des Chippendales, un groupe de strip-teaseurs sportifs, musclés au charisme démoniaque, faisant la joie d’un public en délire...